CENTRE D'AIDE ET DE LA LUTTE CONTRE LES
AGRESSIONS À CARACTÈRE SEXUEL DE LA RIVE-SUD
Lorsque j'ai décidé de dénoncer l'homme qui m'a fait subir des agressions sexuelles, je suis allée chercher du soutien au CALACS et j'ai immédiatement eu l'appui nécessaire pour m'aider dans cette démarche.
Lorsque j'ai décidé de dénoncer l'homme qui m'a fait subir des agressions sexuelles, je suis allée chercher du soutien au CALACS et j'ai immédiatement eu l'appui nécessaire pour m'aider dans cette démarche.
Lorsque j'ai décidé de dénoncer l'homme qui m'a fait subir des agressions sexuelles, je suis allée chercher du soutien au CALACS et j'ai immédiatement eu l'appui nécessaire pour m'aider dans cette démarche.
Appelez-nous :
Du lundi au vendredi,
de 8h30 à 16h30
« Lorsque j’ai décidé de dénoncer l’homme qui m’a fait subir des agressions sexuelles, je suis allée chercher du soutien au CALACS et j’ai immédiatement eu l’appui nécessaire pour m’aider dans cette démarche. L’intervenante m’a informée et accompagnée tout au long des procédures judiciaires. C’est une aide précieuse pour les femmes victimes d’agressions sexuelles. »
Sophie
« Ça m’a fait du bien d’aller au CALACS.À cet endroit, je pouvais parler librement de l’inceste que j’ai subi durant mon enfance. Je me sentais crue, écoutée, soutenue et respectée dans mon cheminement.
C’est aussi un lieu d’appartenance pour les femmes qui nous permet de voir qu’on n’est pas seule à vivre de la détresse. »
Marie
« Au CALACS, j’ai trouvé l’espoir d’un jour meilleur qui, jusque-là,m’apparaissait inatteignable et qui, pourtant, nous surprend soudainement par la douceur et la fierté d’y être enfin arrivée…»
Natacha
« Grâce au soutien du CALACS, je suis allée jusqu’au bout de moi-même. Oui, j’ai trouvé ça dur par moments, tout y repasse et ça fait mal, mais mettre des mots et en comprendre le sens, les effets, les conséquences, les impacts, les ramifications, c’est quelque chose à affronter, à comprendre, à gérer, à vivre. Avec le soutien gratuit et personnalisé du CALACS, son accompagnement à la cour, juste pour moi… j’ai arrêté de survivre pour enfin VIVRE et m’exprimer sans avoir peur de tout. »
Carole